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 L'ennui du silence [PV]

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MessageSujet: L'ennui du silence [PV]   L'ennui du silence [PV] Icon_minitimeLun 20 Déc - 13:15

Ulrich ouvrit les yeux. Le plafond de sa chambre était blanc, comme en temps normal. Rien ne changeait autours de lui. Il y avait toujours les pas précipité des elfes dans les couloirs, la faible lueur du soleil qui échappait aux volets électrique et la couleur du plafond qui n’avait pas changé depuis ses cinq ans. Pourtant, six ans c’était écoulé depuis que le plafond avait changé du vert au blanc. Six année ou Ulrich Liechtenstein avait apprit ce qu’était la magie, qu’il était un sorcier, un sang-pur, un descendant d’une lignée parfaite et qu’il devait s’en montré fière. Six année qu’il avait attendu cette journée plus que n’importe quel autre car aujourd’hui, il allait se rendre à poudlard. Surexcité? Il en doutait alors qu’il était sous ses couvertures. Il allait devoir quitté son petit confort pour un château dont il ne savait pas grand chose. Il allait devoir quitté ses habitudes pour se plier aux règles d’une nouvelle école. Et si tout cela ne lui plaisait pas? Il allait devoir tout recommencé à zéro. Dans son ancienne école on le respectait pour ce qu’il était, il avait des amis, enfin, des personnes avec qui passer son temps. Maintenant il lui faudrait bâtir une nouvelle réputation, de nouvelles connaissances mais surtout, il lui faudrait changer totalement sa façon de vivre. Est-ce qu’il était prêt à sa? Qu’importe… dans tout les cas, on ne retardait pas l’échéance, on n’arrêtait pas le temps ni n’empêchait le soleil de se levé.

-Maître ! Maître ! Il vous faut vous lever !

La voix de Druss, son elfe de maison, résonna à ses oreilles. Une voix aiguë et stressé qui ne faisait que répété le mot de maître. Soumis, les elfes de maison étaient ainsi et le sien ne faisait pas exception à la règle malgré qu’il soit la personne la plus proche de Ulrich dans la maison. Il savait tenir sa place et ses manières tout autant qu’il savait en faire abstraction lorsque Ulrich en avait besoin. Debout, debout… il n’aimait pas cela. Il était bien sous ses couvertures de soie. Mais les volets s’ouvrirent sous l’action du petit bouton que tenait Druss dans ses mains.

-Hummmmm

Un petit grognement de mécontentement, l’elfe sortie de la chambre laissant le Liechtenstein tout seul. Une minutes, deux, trois… au bout d’une dizaine de minutes à ne rien faire, Ulrich se leva. Des valises remplissaient les espaces encore inutilisé de la chambre. Toutes ses malles avaient été faite durant la nuit. Son elfe faisait toujours en sorte de faire son travail à des moments ou il ne gênerait pas Ulrich. Ulrich l’appréciait beaucoup pour cela. Il ne se sentait jamais poussé ou forcé à quoi que ce soit. Regardant autours de lui il vu non loin une tenue pré-mâché. Il fallait avoué que son elfe le connaissait bien. Ulrich au réveil était aussi rapide qu’un escargot. Le temps qu’il aurait mis à se trouvé une tenu, ils auraient déjà du partir ce qui signifiait qu’il n’aurait pas eu le temps pour une douche et pour déjeuné. Prévoyant cet elfe. Ulrich prit le jean, les chaussettes et le sweet avant de se rendre dans la salle de bain. Une bonne douche pour se réveillé, en sortant de la pièce humide, Ulrich avait déjà les yeux bien mieux ouvert sur le monde.

Toutes ses valises étaient déjà en bas des escaliers. Le manoir ou vivait Ulrich était immense. Sa chambre était au première étages. En formes de U la maison ressemblaient à un vieux châteaux de la renaissance. Sa famille avait toujours fait fortune et elle était donc d’une richesse qu’Ulrich n’estimait même pas. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il n’avait pas besoin de regarder le prix de quelque chose pour pouvoir se l’offrir. Ce qu’il voulait, il l’avait. C’était ainsi dans cette famille bourgeoise. Les escaliers descendaient sur le hall d’entrée. Toutes les pièces étaient luxueuse. Du plafond peint aux murs sculpté, il n’y avait à aucune endroit le sentiment de ne pas être supérieurs aux autres. Ulrich avait vécut dans cette ambiance de richesse absolu. Il aimait sa, tout comme il trouvait cet univers naturel.

Après un chocolat chaud (hey il a 11 ans…) et quelques croisant français, son père entra dans la salle à mangé en coup de vent. Son père était grand, toujours habillé avec une élégance irréprochable, et surtout, il dirigeait en grande partie l’hôpital sainte mangouste avec ses collaborateurs. Mais ce n’était pas tout, en ayant un post aussi élevé il lui arrivait souvent d’assisté à des réunion au ministère de la magie dans les traité qui parlait de soin magique. Ulrich était donc le descendant d’une famille riche, connu du monde moderne et surtout une des plus grande fortune du pays.


– Ulrich le chauffeur t’attend pour t’emmener à la gare. Dépêche toi.

Ulrich fit un léger signe de tête à son père qui repartit aussi vite qu’il n’était arrivé. Voilà à quoi se résumait sa vie sociale chez lui. Son père travaillait tout le temps, sa mère était sans cesse en voyage et lui, et bien il allait partir à poudlard sans un bonne chance ou félicitation pour ton entrée. Un soupire, des yeux baissé un peu triste, il se leva, laissant toute sa vaisselle en plan et sortie dehors. Devant la porte, était garé une limousine. Un chauffeur lui tenait la porte. Il savait que toutes ses valises étaient déjà dans la voiture. Il s’installa sur un des canapés et regarda le paysage, tandis qu’il disait en silence au revoir à son palais.

La gare de londres était pleine de monde. Ulrich ne voyait que rarement du monde. Sa maison était très reculé et surtout, très protégé de tout moldu et sorciers un peu trop encombrant. Il n’avait pas vraiment d’amis, seulement des serviteurs. Ulrich se sentait un peu mal à l’aise dans cette fourmilière de moldus et sorciers. Il ne parla pas à son chauffeur ni à quiconque. Il savait ou se trouvait le chemin pour se rendre sur la voie 9/3/4 tellement on lui avait répété. Tout le monde disaient au revoir à ses proches et lui, montait dans le train et prit place dans une cabine vide.
Le chemin fut long et ennuyeux. Il eu néanmoins la visite de son elfe qui lui apportait sa tenue de sorciers qui avait été rangé dans une de ses malles. Il se changea, s’habillant de la tenu traditionnelle poudlarienne. La suite fur très monotone et très banale. Il se rendit au château par le lac, écouta la chanson du choixpeau et fut envoyé à serpentard. Il s’en doutait. Toute sa famille était passé par là et tout les ans il entendait au moins une fois la fabuleuse entrée d’un de ses membres aux châteaux. C’était toujours le même refrain.

Les cachots. Sa salle commune se trouvait là. Ulrich se sentait seul. Bien seul dans cet endroit vide de couleur et de formes. Son lit était bien, c’était le point le plus positif. Tout les gens autours de lui semblait idiots et sans intérêt. Il ne savait pas avec qui se lié, il ne savait même pas si il en avait l’envie. Mais il allait devoir passé sept ans dans cet endroit. Sept longues années… il déprimait un peu du commencement de sa nouvelle vie. Il n’avait pas plus de contact avec les gens chez lui mais au moins, il savait ou il était, ou il allait. Ici il ne savait rien, ne comprenait rien et n’avait pas idée d’où se trouvait ses classes.

Il partit de sa salle commune. On lui avait bien dis que c’était interdit mais que voulez-vous? Il en avait marre d’être enfermé dans sa salle commune. Ulrich sortie par le tableau, prit des escaliers, d’autres et encore d’autres. Il marchait sans cherché ou il se trouvait. Il avait reçut le badge de sa maison quelques minutes après sa répartition. Elle c’était cousu d’elle même sur la veste de son uniforme. Puis, il s’arrêta les yeux ébahis par la vue. En face de lui il y avait poudlard, toute l’école, et aussi pré-au-lard, et des montagnes, des lacs, le ciel et l’univers. Ulrich était dans la tour de l’horloge et tout ce qu’il y voyait c’était le calme et l’infini du lieux. Il s’arrêta et se posa.
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Zakaël Whyte
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Zakaël Whyte

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MessageSujet: Re: L'ennui du silence [PV]   L'ennui du silence [PV] Icon_minitimeLun 20 Déc - 15:37

Poudlard? Comment vous dire... Le seul mot qui me vient à l'esprit c'est "magique". Pas très original, je dois l'avouer, mais imaginez-vous, vous, simple mortel devant l'immensité qu'est Poudlard... C'est la jouissance même de l'être humain que de se retrouver face à une entité qu'il ne peut définir. On dit que la première impression est souvent la bonne, he bien j'espérais sincèrement que je n'allais pas me sentir écrasé par cette grandeur jusqu'à la fin de ma carrière! A 23 ans seulement, bientôt 24, je jouissais du plaisir d'être professeur de vol à Poudlard. C'était ma première année dans l'enseignement, et je comptais réellement percer dans le domaine.

Gosse de riche, j'avais bénéficié d'une enfance plutôt tranquille, assez paisible, sans problèmes majeurs, ne manquant de rien, en ayant même de trop, avec un père assez travailleur mais toujours présent pour sa famille, une mère au foyer dispensant une discipline de fer et un savoir-vivre stricte, et deux jeunes soeurs adorables... bref, on pouvait dire en effet, que j'avais eu une enfance de rêve. J'avais toujours eu ce que je voulais, mais étant un garçon raisonnable, je ne demandais pas la lune, et j'avais de bonne notes à l'école, j'excellais au Quidditch et je n'étais franchement pas impopulaire. Tout ça pour vous dire que jusque là la vie me souriait de toutes ses dents, sans aucunes caries. Vie de rêve direz-vous. Et bien non. Détrompez-vous, si ma vie était d'apparence parfaite, à l'intérieur de moi-même, je livrais un combat incessant contre une part de moi qui manquait à l'appel de la perfection. Il manquait un petit quelque chose dans vie qui rendait tout morne et sans couleurs, et le pire, c'est que je n'arrivais pas à mettre la main sur ce quelque chose.
Et puis un jour, à 12ans, j'avais fait la première expérience palpitante de ma vie, et à cette époque déjà je savais que cette expérience allait être le début d'une aventure folle entre...mon balai et moi. Bon, dit comme ça, ça peut sembler un peu étrange, voir gnangnan, mais réellement... Cette expérience avait fait naître en moi un sentiment nouveau, comme si le vide que j'avais ressenti jusque là avait été comblé. Mais je ne comptais pas en rester là.
Peu à peu, j'avais grimpé les échelons avec mon balai: j'avais tout de suite intégré l'équipe de Quidditch de Serdaigle, un an plus tard mon père m'inscrivait dans un club extra-scolaire, j'étais vite devenu le capitaine des deux équipes, et diriger me procurait une sensation de bien-être absolu...
Ensuite, un an après ma 7e année, j'avais intégré l'équipe nationale durant 4ans, et puis ressentant à nouveau un début de cette "sensation de vide" horrible, j'avais décidé de me tourner vers un autre domaine, sans pour autant m'éloigner des airs. Et voilà comment j'étais vite devenu Professeur de vol.

Et j'étais là, devant Poudlard, à admirer chaque chute, chaque méandre qu'engendraient les formes dudit Château. Il était le dominant, et nous les dominés.

Ce n'était que le premier jour, et déjà je sentais que l'année allait être formidable, après tout j'étais Professeur de Vol; ce qui voulait dire: pas de copies à corriger, pas de cours à préparer pendant des heures la veille, pas de parchemins à déchirer, pas de notes à brûler, bref... Rien à faire à part donner des ordres et regarder les autres se rétamer. La dernière partie était surtout celle qui m'avait attiré dans le poste de professeur de Vol, et puis javais aussi obtenu le titre d'"entraineur au Quidditch". Autant vous dire que je ne pouvais rêver mieux pour ma première année dans l'enseignement.
La journée était vite passée, je n'avais eu aucune difficulté à m'imposer, les élèves étaient assez dociles, quelques-uns étaient doués d'un talent spécial pour le vol, tandis que les autres me donnaient des crampes aux zygomatiques. J'avais donc décidé de sortir un peu, pour m'aérer, bie que je passais la plupart de mon temps dehors. Et après avoir été revoir les endroits que j'appréciais le plus dans ma jeunesse à Poudlard dans le parc, je m'étais planté devant le château pour voir s'il n'avait pas changé depuis 6-7ans. Le château était toujours le même. A chaque détail près, c'était comme s'il ne pouvait pas vieillir, en même temps c'était Poudlard... Pourtant j'avais eu une sensation étrange, je ne le percevais plus de la même façon, comme si il avait changé mais de l'intérieur, pas dans les meubles ou quoi, mais dans sa façon de se tenir. Je n'étais plus aussi impressionné par le bâtiment, mais d'une façon, je me sentais écrasé, oppressé, comme si le château lui-même m'observait. Sensation fascinante, mais terrifiante.

Le ciel commençait à se couvrir et les nuages à se faire plus nombreux et plus sombres dans le ciel, tout bon surfeur des airs sait quand il doit se mettre à l'abri. Autant vous dire que le ciel n'allait pas se faire clément au moins toute la soirée...
Je pressai donc le pas, et rentrai au château. Je me mis à errer dans les couloirs, en quête de quelque chose à faire. Parce que oui, je déteste n'avoir rien à faire et je déteste les gens mous.
Néanmoins, j'aimais bien me mettre au calme de temps en temps, m'asseoir tranquillement, isolé du reste du monde, à ressasser quelques souvenirs de ma belle enfance. Et puis soudain, l'idée traversa mon esprit. La tour de l'Horloge! Plus jeune, j'aimais y passer énormément de temps lorsque j'avais besoin de me retrouver seul, lorsque je tombais le masque du souriant et populaire petit Zak', pour repenser à ce vide qui hantait autrefois mon âme.

Tandis que je grimpais les marches menant à la tour, je repensai... Je repensai à cette histoire de direction de Poudlard. Depuis mon arrivée, et même avant je n'avais encore jamais rencontré la directrice, qui avait changé depuis ma scolarité. C'est vrai, beaucoup de choses peuvent changer en 7ans, j'étais bien placé pour le savoir. Lorsque j'avais envoyé ma candidature pour mon poste, j'avais très vite reçu une réponse, avec la signature d'une directrice que je connaissais pas, et je m'étais dit que je la rencontrerais sûrement en début de ma première journée ,soit aujourd'hui. Pourtant, elle n'avait pas pointé le bout de son nez, ni à l'accueil des professeurs, ni au grand banquet, ni à n'importe quel autre moment... Et j'avais même été jusqu'à questionner les autres professeurs sur la raison de son absence, certains restaient silencieux, tandis que les autres affirmaient ne pas l'avoir encore vue non plus. Etrange tout de même, étrange.

Et puis voilà que je pénétrai dans la tour de l'Horloge, l'endroit était toujours le même, dégageant une telle simplicité et une telle aura de tranquillité que j'en oubliai toutes mes questions stupides, elle devait simplement être malade, cette directrice mystère.
Je m'avançai dans la tour, faisant le tour de la pièce circulaire, toute faite de bois et de pierres.

C'est là que je remarquai que je n'étais pas seul, un garçon sûrement de première vu sa taille, était aussi là, devant la large ouverture qui s'ouvrait au monde autour de Poudlard. Il semblait fasciné par cette vue, ce qui m'arracha un petit sourire. J'avais éprouvé exactement la même chose lorsque j'étais venu dans cette Tour pour la première fois.


- Magique, hein? demandai-je simplement en m'approchant de lui.

Je me plongeai à mon tour dans cette vue sublime qu'offrait la Tour de l'Horloge. Même la Tour d'Astronomie n'arrivait pas à sa cheville sur ce point.
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